Après plusieurs mois de répit, le mouvement de contestation populaire a repris au Liban. Le bouclage total imposé pour lutter contre la progression du coronavirus a aggravé les conditions socio-économiques d’une grande partie de la population, déjà très affectée par la crise qui frappe le pays depuis plus d’un an.
Du nord au sud, dans les grandes villes comme en province, des centaines de personnes sont encore descendues dans la rue mardi pour la deuxième journée consécutive.
Des routes ont été bloquées à l’aide de bennes à ordure ou de pneus enflammés à Beyrouth, sur l’autoroute qui mène dans le sud du pays ou dans la plaine oriental de la Békaa.
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