Abdelmadjid Tebboune a disparu. Depuis le 24 octobre précisément, date à laquelle le président algérien, 75 ans, gros fumeur, annonce sur Twitter qu’il se met « volontairement à l’isolement » après avoir été en contact avec des membres du gouvernement testés positifs au coronavirus.
D’abord admis dans un hôpital militaire à Alger, très vite il s’envole vers « l‘un des plus grands établissements spécialisés » d’Allemagne (à Cologne, selon les médias algériens), pour des « examens médicaux approfondis ». La communication officielle est minimaliste, six communiqués expéditifs et parfois contradictoires. Son état de santé « n’inspire aucune inquiétude », selon la présidence.
Lire la suite de l’article sur France TV Info