Sur les bancs des universités américaines, les regards sont inquiets et les discussions politiques qui animaient les couloirs et les gigantesques parcs se font dans l'anticipation d’une possible répression. La police pénètre désormais régulièrement dans l'enceinte des l'établissement pour arrêter les étudiants en sit-in pour un cessez-le-feu à Gaza. En France ils sont mis en garde à vue. Quand ils ne sont pas convoqués par la police pour apologie du terrorisme comme notre candidate aux européennes, Rima Hassan ou encore la présidente du groupe parlementaire Insoumis, Mathilde Panot.