Cet article fait partie du dossier de la Révolution citoyenne

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Solidarité internationale avec le mouvement social de la jeunesse en Tunisie !

Les Tunisiennes et les Tunisiens ont fêté le dixième anniversaire de la révolution tunisienne en janvier 2021. Cet anniversaire, dans un contexte de crise sociale et sanitaire a donné lieu à de nouvelles manifestations. Les jeunes sont extrêmement fragiles socialement et économiquement. Face aux revendications de justice ou encore de dignité, la répression est extrêmement violente. Des personnalités politiques, dont Jean-Luc Mélenchon et le groupe parlementaire de la France insoumise, des syndicalistes et universitaires s'unissent pour apporter leur soutien à la jeunesse tunisienne.

En Tunisie, ces derniers jours, une répression aveugle et des vagues d’arrestations se sont abattues sur des centaines de jeunes des quartiers populaires dans de nombreuses villes à travers tout le pays. Ces jeunes qui subissent une paupérisation croissante ne font que réclamer ce qui, il y a dix ans, a donné lieu à la « révolution pour la dignité », à savoir : leur droit au travail, à la liberté, à la justice et à l’égalité.

Nous, personnalités, organisations, associations et syndicats, de par le monde – du Maghreb et d’Europe, en particulier -, exprimons notre indignation et notre solidarité. Nous rappelons, avec force, au gouvernement tunisien qu’il est tenu de respecter les principes consacrés par la Constitution de 2014 qui font obligation à l’Etat tunisien de respecter la dignité de ses citoyens. Nous condamnons le recours aux mauvais traitements, à la torture et aux procédures judiciaires expéditives.

Nous considérons que l’absence de toute remise en cause des choix économiques et sociaux de l’ancien régime, de la part des gouvernements tunisiens qui se sont succédé depuis 2011, n’a fait qu’appauvrir davantage la population, particulièrement les catégories sociales précaires, et contraint des milliers de jeunes et d’adultes à des petits boulots précaires, alimentant ainsi les circuits de l’économie informelle ou de l’extrémisme religieux. Une telle situation ne pouvait qu’aboutir à la confrontation avec le pouvoir qui, aujourd’hui encore et de nouveau, ne répond à leur désarroi et à leurs revendications légitimes que par la répression.

Ces mouvements des jeunes tunisiennes et tunisiens sont révélateurs non seulement de l’impasse économique et sociale dans laquelle le gouvernement tunisien a plongé la société, mais aussi de l’indifférence de l’Union européenne et des gouvernements qui la composent, en maintenant la dette qui pèse sur le pays. Plus que jamais il est nécessaire d’abroger cette dette et de donner des perspectives à la jeunesse tunisienne de vivre et travailler au pays.

Au nom de notre attachement aux principes de justice et de liberté pour tous les peuples et au droit de la jeunesse à une vie digne et décente, nous appelons le gouvernement tunisien à libérer toutes les personnes injustement arrêtées et à prendre des mesures correspondant aux aspirations du peuple tunisien et aux objectifs de sa révolution.

Nous appelons également toutes celles et tous ceux épris de démocratie, de liberté et de justice en Europe et de par le monde à faire pression sur les autorités tunisiennes afin que la révolution de 2011 ne se transforme pas en un cauchemar où les pratiques répressives du passé tiendraient lieu de réponse aux aspirations légitimes du peuple tunisien.

Le 31 Janvier 2021.

Signataires

Adel Abderezak, universitaire, syndicaliste (Algérie)

Gilbert Achcar, professeur, SOAS, université de Londres

Hakim Addad, militant politique (Algérie)

Ayad Ahram, défenseur des droits humains (Maroc)

Farid Aissani, membre du conseil national du PS, conseiller municipal di Pré-St-Gervais (France)

Nadia Leïla Aïssaoui, sociologue (Algérie)

Arezki Aït-Larbi, journaliste/éditeur (Algérie)

Azeddine Akesbi, professeur d’économie (Maroc)

Sanhadja Akhrouf, militante associative de l’émigration en France

Zineb Ali-Benali, professeur émérite des universités (Algérie)

Arié Alimi, avocat, membre du bureau national de la LDH (France)

Tewfik Allal, militant associatif de l’émigration en France

Ghanima Ammour, poétesse (Algérie)

Samia Ammour, artiste, militante associative de l’immigration en France

Jean-Loup Amselle, anthropologue, directeur d’études émérite à l’EHESS (France)

Tassos Anatassiadis, journaliste (Grèce)

Maria Aréna, députée euroéenne, présidente de la commission des droits de l’homme du PE (Belgique)

Sion Assidon, militant des DH, cofondateur de Transparence International (Maroc)

Pierre Audin, fils de Josette et Maurice Audin (France)

Abdelkader Azriah, coordinateur du Collectif moderniste marocain (Maroc)

Malika Bakhti, ingénieure d’études (Algérie)

Brigitte Bardet-Allal, professeure de lettres (France)

Roberto Barni, sculpteur (Italie)

Alain Baron, syndicaliste (France)

Roberto Barzanti, journaliste, ancien vice-président du Parlement européen (Italie)

Pedro Ivo Batista, porte-parole national du réseau Durabilité, membre de la coordination politique du leadership du réseau du Sénat (Brésil)

Julien Bayou, secrétaire national d’EELV (France)

Adda Bekkouche, maire adjoint de Colombes (France)

Akram Belkaïd, journaliste (Algérie)

Farouk Belkeddar, militant associatif de l’émigration en France

Malika Benarab Attou, ancienne eurodéputée, militante associative (France/Algérie)

Madjid Benchikh, professeur émérite de l’Université de Cergy-Pontoise, ancien doyen de la faculté de droit d’Alger (Algérie)

Raymond Benhaim, économiste (Maroc)

Abdelmoughit Benmessaoud, universitaire, directeur de la « Revue marocaine des sciences politiques et sociales » (Maroc)

Ali Bensaad, géographe (Algérie)

Olivier Besancenot, postier NPA (France)

Eric Beynel, syndicaliste (France)

Roland Biache, secrétaire général de la LDH (France)

Laurent Binet, romancier (France)

Antonio Boitano, philosophe (Chili)

Giovanna Botteri, journaliste (Etats-Unis)

Mustapha Bouaziz, universitaire, historien, directeur scientifique du CEREM (Maroc)

Fatma Boufnik, militante féministe, universitaire (Algérie)

Alima Boumedienne, avocate (France)

William Bourdon, avocat (France)

Nasos Brastos, journaliste (Grèce)

Rony Brauman, cofondateur et ancien président de Médecins sans frontières (France)

Geneviève Brisac, romancière (France)

Jean Louis Brochen, avocat, ancien président du Syndicat des avocats de France (SAF)

Paolo Brogi, journaliste (Italie)

Frédéric Brun, membre de la rédaction de la revue « Multitude » (France)

Cristovam Buarque, député, ancien ministre (Brésil)

Marie-Georges Buffet, députée, ancienne ministre (France)

Dominique Cabrera, cinéaste (France)

Ronald Cameron, militant associatif et politique (Québec)

Alejandro Carrasco, doyen de faculté (Chili)

Alice Cherki, psychanalyste (France/Algérie)

Stéphanie Chevrier, éditrice (France)

Hervé Christofol, syndicaliste, membre du bureau national du SNESup (France)

Félice Cimatti, universitaire (Italie)

Yves Cohen, historien (France)

Jean-Louis Comolli, cinéaste, écrivain (France)

Antoine Comte, avocat, (France)

Antoine Condeza, chercheuse en éducation (Chili)

David Cormand, eurodéputé (France)

Rodrigo Cornejo, psychologue (Chili)

Leila Costa, comédienne, écrivaine (Italie)

Fanny Cottençon, comédienne (France)

Guido Crainz, historien (Italie)

Gianni Cuperlo, député (Italie)

Didier Daeninckx, romancier (France)

Ahmed Dahmani, universitaire (Algérie)

Leyla Dakhli, chargé de recherche CNRS (France)

Jocelyne Dakhlia, historienne, anthropologue, directrice de recherche EHESS (France)

Michel Debon, ancien responsable syndical, vice-président de Solidarité laïque (France)

Karima Delli, eurodéputée, présidente de la Commission des transports (France)

Erri De Luca, romancier (Italie)

Monique Dental, militante féministe (France)

Camille De Toledo, écrivain (France)

Karima Dirèche, historienne, chercheure CNRS (France/Algérie)

Saïd Djaafer, journaliste (Algérie)

Nacer Djabi, sociologue (Algérie)

Habiba Djahnine, documentariste (Algérie)

Nadir Djermoune, architecte (Algérie)

Louisa Djouadi, juriste (Algérie)

Marcel Drach, psychanalyste (France)

Bernard Dréano, président du CEDETIM (France)

Jean-Pierre Dubois, président d’honneur de la LDH (France)

Wahid El Asmar, président d’Euromed-droit, militant des droits humains (Liban)

Mathias Enard, écrivain (France)

Carlos Enrique Diaz, éditeur (Argentine)

Annie Ernaux, écrivaine (France)

Giulia Fabbiano, anthropologue (Italie)

Abbes Fahdel, réalisateur (Irak)

Mireille Fanon-Mendès France, Fondation Frantz-Fanon (France)

Didier Fassin, Institut d’étude avancée de Princeton et Collège de France

Jacques Fath, spécialiste des relations internationales (France)

Michèle Feo, philologue (Italie)

Roger Ferrari, syndicaliste (France)

Abdelouaheb Fersaoui, président de RAJ (Algérie)

Aurélie Filippetti, écrivaine, ancien ministre (France)

Luis Manuel Flores, philosophe (Chili)

Sofia Flores, vidéaste (Chili)

Anna Foa, historienne (Italie)

Giorgio Fontana, écrivain (Italie)

Mario Fuentealba, médecin (Chili)

Jacques Gaillot, évêque (France)

Réné Galissot, historien (France)

Carolina Garcia, historienne (Chili)

Dario Gentil, philosophe (Italie)

François Gèze, éditeur (France)

Béatrice Giblin, professeure émérite, directrice de la revue « Hérodote » (France)

Carmela Giglioto, philosophe (Chili)

Cristina Girardi, député (Chili)

Guido Girardi, sénateur (Chili)

Ghislaine Glasson-Deschaumes, directrice de Fondation (Paris)

Ruy Gomes Braga Neto, sociologue (Brésil)

Robert Guédiguian, cinéaste (France)

Ali Guenoun, historien (Algérie)

Nadim Gursel, écrivain (Turquie)

Saddek Hadjou, militant politique (Algérie)

Abdallah Hammoudi, anthropologue, professeur émérite de l’Université de Princeton (Etats-Unis)

Benoît Hamon, ancien ministre (France)

Mohammed Harbi, historien (Algérie)

Damien Hazard, travailleur social (Brésil)

Ahmed Henni, économiste (Algérie)

Franck Hofmann, universitaire (Allemagne)

Toufik Ibelkissene, militant politique et associatif de l’émigration en France

Rolando Jeldres, doctorant sciences de l’éducation (Chili)

Alfredo Joignant, politiste (Chili)

Samy Joshua, professeur émérite (France)

Aïssa Kadri, sociologue, professeur émérite des universités (France/Algérie)

Leslie Kaplan, romancière (France)

Salam Kawakibi, politologue (France)

Tahar Khalfoun, juriste, membre du FORSEM (France/Algérie)

Myriam Kendsi, artiste peintre (France)

Abdellatif Laabi, poète (Maroc)

Kamel Lahbib, militant associatif (Maroc)

Samik Lahiri, ancien député (Inde)

Mehdi Lahlou, universitaire (Maroc)

Annie Lahmer, conseillère régionale d’Ile-de-France

Jaffar Lakhdari, militant associatif (Algérie)

Xavier Lambert, professeur émérite, membre du bureau national du SNESup (France)

Hichem Lasri, cinéaste, écrivain (Maroc)

Pierre Laurent, sénateur (France)

Henri Leclerc, avocat, président d’honneur de la LDH (France)

Philippe Legrand, membre du bureau national de la LDH (France)

Gilles Lemaire, militant écologiste, ancien secrétaire national des Verts (France)

Renée Le Mignot, co-présidente du MRAP (France)

Edith Lhomel, responsable d’édition à la Documentation française

Christian Louedec, syndicaliste enseignant (Grèce)

Benjamin Lucas, coordinateur national de Génération.s (France)

Ziad Majed, professeur, universitaire (Liban)

Noël Mamère, écologiste, ancien député (France)

Gilles Manceron, historien (France)

Luigi Manconi, sociologue, ancien ministre (Italie)

Matteo Marchensi, écrivain 5italie)

Guillermo Marini, philosophe (Chili)

Pablo Marquet, biologiste (Chili)

Gustavo Massiah, économiste, ancien président du CRID (France)

Nicolas Mathieu, romancier (France)

Achille Mbembe, philosophe (Afrique du Sud)

Hanny Megally, New York (Etats Unis)

Jean-Luc Melenchon et le groupe parlementaire de la France insoumise

Daniel Mermet, journaliste (France)

Markus Messling, universitaire (Allemagne)

Umit  Metin, militant associatif (France/Turquie)

Marissa Meza, philosophe (Chili)

Amar Mohand-Amer, historien (Algérie)

Olivier Mongin, écrivain, éditeur, essayiste, ancien directeur de la revue « Esprit » (France)

Rosa Montero, romancière, journaliste (Espagne)

Gérard Mordillat, romancier, cinéaste (France)

Bachir Moutik, militant associatif (Sahara occidental)

Cristina Moyano, historienne (Chili)

Sébastien Nadot, député (France)

Jamel Eddine Naji, universitaire (Maroc)

Elimar Nascimento, écologue, universitaire (Brésil)

Toni Negri, philosophe (Italie)

Stanislas Nordey, comédien metteur en scène (France)

Salah Oudahar, directeur du Festival Strasbourg-Méditerranée

Juanita Palma Munoz, artisane (Chili)

Alfredo Pena-Vega, sociologue, enseignant-chercheur et coordinateur du Tribunal international de la nature

Yves de Pereti, cinéaste (France)

Eric Piolle, maire de Grenoble (France)

Marcelo Pérez Pérez, philosophe, photographe (Chili)

Adriano Prosperi, historien (Italie)

Alvaro Ramis, philosophe (Chili)

Jacques Rancière, philosophe (France)

Jesùs Redondo, psychologue (Chili)

Hassan Remaoun, historien (Algérie)

Ivan Repila, écrivain (Espagne)

Jaime Retamal Salazar, philosophe (Chili)

Judith Revel, philosophe (France)

Gigi Riva, journaliste, écrivain (Italie)

Roberto Romero Aguila, conseiller régional Île-de-France

Laurence Rossignol, sénatrice, ancienne ministre (France)

Fabien Roussel, secrétaire général du PCF, député (France)

Luiz Ruffato, écrivain (Brésil)

Khadija Ryadi, lauréate du prix des Nations unies pour les droits de l’Homme (Maroc)

Lana Sadeq, militante associative (Palestine)

Emir Sader, sociologue (Brésil)

Isabel Saez, psychologue (Chili)

Malik Salemkour, président de la LDH (France)

Saïd Salhi, vice-président de la LADDH (Algérie) et membre de la CMODH (Maghreb)

Jean-Marc Salmon, sociologue (France)

Régis Sauder, cinéaste (France)

Roberto Savio, vice charman of the European Center for Peace and Development (Italie)

Kenza Sefrioui, éditrice, journaliste (Maroc)

Brahim Senouci, écrivain (Algérie)

Salvatore Settis, archéologue, historien (Italie)

Marc Shade-Poulsen, chercheur à l’Université de Roskilde (Danemark)

Danielle Simonnet, conseillère de Paris LFI (France)

Shumona Sinha, romancière (Inde/France)

Guy Sitbon, journaliste (France)

Francis Sitel, codirecteur de la revue « Contretemps » (France

Adriano Sofri, journaliste (Italie)

Giani Sofri, historien Italie

Dominique Sopo, président de SOS Racisme (France)

Hamouda Soubhi, membre du secrétariat international du Forum social mondial (Maroc)

Sergio Staino, directeur de l’Unita, dessinateur, metteur en scène (Italie)

Benjamin Stora, historien (France)

Mauricio Stuardo Fuentealba, ingénieur en contrôle industriel (Chili)

Sophie Taillé-Polian, sénatrice, coordinatrice nationale de Génération.s (France)

Khaoula Taleb-Ibrahimi, linguiste, universitaire (Algérie)

Bernard Tavernier, réalisateur, scénariste (France)

Nadia Tazi, philosophe (Maroc) 

Silvio Tendler, cinéaste (Brésil)

Emmanuel Terray, anthropologue, historien (France)

Carlos Tiburcio, journaliste (Italie)

Michel Tubiana, président d’honneur de la LDH (France)

Dominique Tricaud, avocat (France)

Calara Uson, écrivaine (Espagne)

Marie-Christine Vergiat, vice-présidente de la LDH, ancienne eurodéputée (France)

Marco Verrugigio, directeur de PuntoCritico.info (Italie)

Pedro Vianna, poète, homme de théâtre, enseignant universitaire

Sophie Wahnich, historienne (France)

Bruno Jirardino Wiesenborn, directeur du syndicat universitaire, université de Santiago (Chili)

Carlos Willat, chercheur en éducation (Chili)

Farid Yaker, militant associatif (Algérie)

Moh Idir Yakoub, militant politique FFS (Algérie)

Abdallah Zniber, militant associatif de l’immigration (France/Maroc)


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Marina Mesure

Syndicalisme international

Marina Mesure is a specialist of social issues. She has worked for several years with organizations defending workers’ rights such as the European Federation of Building and Wood Workers.

She has campaigned against child labor with the International Labor Organization, against social dumping and the criminalization of unionism. As a famous figure in the international trade union world, she considers that the principle of “equal work, equal pay « remain revolutionary: between women and men, between posted and domestic workers, between foreigners and nationals ».

Marina Mesure, especialista en asuntos sociales, ha trabajado durante varios años con organizaciones de derechos de los trabajadores como la Federación Europea de Trabajadores de la Construcción y la Madera.

Llevo varias campañas contra el trabajo infantil con la Organización Internacional del Trabajo, contra el dumping social, y la criminalización del sindicalismo. Es una figura reconocida en el mundo sindical internacional. Considera que el principio de « igual trabajo, igual salario » sigue siendo revolucionario: entre mujeres y hombres, entre trabajadores desplazados y domésticos, entre extranjeros y nacionales « .

Spécialiste des questions sociales, Marina Mesure travaille depuis plusieurs années auprès d’organisations de défense des droits des travailleurs comme la Fédération Européenne des travailleurs du Bâtiment et du Bois.

Elle a mené des campagnes contre le travail des enfants avec l’Organisation internationale du travail, contre le dumping social, la criminalisation du syndicalisme. Figure reconnue dans le monde syndical international, elle considère que le principe de « travail égal, salaire égal » est toujours aussi révolutionnaire : entre les femmes et les hommes, entre les travailleurs détachés et domestiques, entre étrangers et nationaux ».

Sophia Chikirou

Directrice de la publication

Sophia Chikirou is the publisher of Le Monde en commun. Columnist, director of a documentary on the lawfare, she also founded several media such as Le Média TV and the web radio Les Jours Heureux.

Communications advisor and political activist, she has worked and campaigned in several countries. From Ecuador to Spain, via the United States, Mexico, Colombia, but also Mauritania, she has intervened with progressive and humanist movements during presidential or legislative campaigns.

In 2007, she published Ma France laïque (La Martinière Editions).

Sophia Chikirou es directora de la publicación de Le Monde en commun. Columnista, directora de un documental sobre el lawfare, también fundó varios medios de comunicación tal como Le Média TV y la radio web Les Jours Heureux.

Asesora de comunicacion y activista política, ha trabajado y realizado campañas en varios países. Desde Ecuador hasta España, pasando por Estados Unidos, México, Colombia, pero también Mauritania, intervino con movimientos progresistas y humanistas durante campañas presidenciales o legislativas.

En 2007, publicó Ma France laïque por Edicion La Martinière.

Sophia Chikirou est directrice de la publication du Monde en commun. Editorialiste, réalisatrice d’un documentaire sur le lawfare, elle a aussi fondé plusieurs médias comme Le Média TV et la web radio Les Jours Heureux.

Conseillère en communication et militante politique, elle a exercé et milité dans plusieurs pays. De l’Equateur à l’Espagne, en passant par les Etats-Unis, le Mexique, la Colombie, mais aussi la Mauritanie, elle est intervenue auprès de mouvements progressistes et humanistes lors de campagnes présidentielles ou législatives.

En 2007, elle publiait Ma France laïque aux éditions La Martinière.

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