Jean-Luc Mélenchon a d’abord dénoncé l’absence de vote parlementaire sur la guerre au Mali et sur l’extension de la zone de conflit des opérations Serval et Barkhane. Il a expliqué que cette extension créait un effet domino qui organisait une solidarité politique de fait avec les gouvernements de la zone, même lorsqu’ils sont issus de coups d’État comme au Mali.
Le président du groupe « La France insoumise » a dressé le bilan humain et financier de la guerre : 8 ans de combats, 55 Français tués, 5 milliards d’euros dépensés, 2 millions de civils déplacés, 2 millions d’euros par jour dépensés. Il a demandé que soient définis les buts de guerre et que soient identifiés les ennemis réels qui financent les djihadistes.
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