- Opinion
L’image restera sans doute dans l’histoire de la révolution du Sourire. Nous sommes le 19 février 2019 à Khenchela, ville moyenne de l’est algérien. Couvrant la façade des deux étages du siège de la municipalité, la toile géante où figurait un homme grabataire postulant à un cinquième mandat présidentiel est brutalement arrachée par de jeunes manifestants. La plupart d’entre eux n’a connu que le régime de Bouteflika.