L’élection du candidat démocrate fait du président d’extrême droite, Donald Trump, l’homme d’un seul mandat. Mais les doutes persistent sur la capacité du nouveau président des États-Unis d’ouvrir une ère de politiques progressistes.
L’Amérique – tout au moins une frange majoritaire – a salué la défaite de Donald Trump, samedi et jusque tard dans la nuit, autant que la victoire de Joe Biden. Elle sait qu’elle n’en a certainement pas fini avec le trumpisme et rien n’est moins sûr qu’elle ait gagné un « bidenisme » au change, mais l’occasion était trop belle, le soulagement trop important. Si le comptage officiel des bulletins se poursuit, plus aucun doute ne plane sur une victoire assez nette de l’ancien vice-président de Barack Obama (lire encadré). C’est CNN qui l’a annoncé en premier : « Nous projetons que Joe Biden sera le 46e président des États-Unis. » Quelques minutes plus tard, Fox News, la chaîne de Rupert Murdoch, suivait le mouvement, obligée de se rendre à l’évidence.
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