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🛑 Colombie : le démantèlement des groupes paramilitaires meurtriers est urgent !

Le mardi 15 décembre 2020, Michelle Bachelet, ancienne ministre au Chili (entre 2000 et 2004) et actuellement Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’Homme a dévoilé le nombre de massacres en Colombie pour l'année 2020 : 66 massacres, 255 morts et 120 défenseurs des droits de l’homme assassinés. Michelle Bachelet a demandé à ce que l'État soit présent partout sur le territoire, que des procès impartiaux soient organisés. D'autres rapports comme celui de l’Institut d’études pour le développement et la paix font état d'un nombre de victimes encore plus important. Le démantèlement des anciens groupes paramilitaires impliqués dans le trafic de drogue en lutte pour contrôler des zones rurales et ciblant les communautés indigènes fait aujourd'hui partie des sujets les parmi plus urgents en Colombie.

Cet article a été publié le 15 décembre 2020, sur le site ONU Info, un site qui partage des informations liées à l'actualité de l'Organisation des Nations Unies

« Il est tragique de voir tant de personnes être victimes de violences persistantes dans tout le pays. Outre les personnes tuées, les victimes comprennent bien sûr les laissés-pour-compte, qui restent presque totalement sans défense », a déclaré dans un communiqué, la Haut-Commissaire aux droits de l’homme de l’ONU, Michelle Bachelet.

Le Bureau des droits de l’homme des Nations Unies en Colombie indique ces massacres ont été perpétrés dans 18 départements. 

Dans ce bilan macabre, il faut aussi ajouter à ce bilan funèbre, l’assassinat de 244 anciens combattants des FARC, depuis l’accord de paix conclu en 2016 entre ce groupe armé et le gouvernement colombien. 

« Malheureusement, la violence a été banalisée en Colombie après des décennies de conflit armé, mais personne ne devrait accepter cela », a-t-elle regretté, condamnant « l’intensification de la violence perpétrée par des groupes non étatiques, des groupes criminels et d’autres éléments armés en Colombie, qui visent les paysans, les indigènes et les Afro-colombiens ».

Vous pouvez lire l’article en entier sur ONU Info

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Marina Mesure

Syndicalisme international

Marina Mesure is a specialist of social issues. She has worked for several years with organizations defending workers’ rights such as the European Federation of Building and Wood Workers.

She has campaigned against child labor with the International Labor Organization, against social dumping and the criminalization of unionism. As a famous figure in the international trade union world, she considers that the principle of “equal work, equal pay « remain revolutionary: between women and men, between posted and domestic workers, between foreigners and nationals ».

Marina Mesure, especialista en asuntos sociales, ha trabajado durante varios años con organizaciones de derechos de los trabajadores como la Federación Europea de Trabajadores de la Construcción y la Madera.

Llevo varias campañas contra el trabajo infantil con la Organización Internacional del Trabajo, contra el dumping social, y la criminalización del sindicalismo. Es una figura reconocida en el mundo sindical internacional. Considera que el principio de « igual trabajo, igual salario » sigue siendo revolucionario: entre mujeres y hombres, entre trabajadores desplazados y domésticos, entre extranjeros y nacionales « .

Spécialiste des questions sociales, Marina Mesure travaille depuis plusieurs années auprès d’organisations de défense des droits des travailleurs comme la Fédération Européenne des travailleurs du Bâtiment et du Bois.

Elle a mené des campagnes contre le travail des enfants avec l’Organisation internationale du travail, contre le dumping social, la criminalisation du syndicalisme. Figure reconnue dans le monde syndical international, elle considère que le principe de « travail égal, salaire égal » est toujours aussi révolutionnaire : entre les femmes et les hommes, entre les travailleurs détachés et domestiques, entre étrangers et nationaux ».

Sophia Chikirou

Directrice de la publication

Sophia Chikirou is the publisher of Le Monde en commun. Columnist, director of a documentary on the lawfare, she also founded several media such as Le Média TV and the web radio Les Jours Heureux.

Communications advisor and political activist, she has worked and campaigned in several countries. From Ecuador to Spain, via the United States, Mexico, Colombia, but also Mauritania, she has intervened with progressive and humanist movements during presidential or legislative campaigns.

In 2007, she published Ma France laïque (La Martinière Editions).

Sophia Chikirou es directora de la publicación de Le Monde en commun. Columnista, directora de un documental sobre el lawfare, también fundó varios medios de comunicación tal como Le Média TV y la radio web Les Jours Heureux.

Asesora de comunicacion y activista política, ha trabajado y realizado campañas en varios países. Desde Ecuador hasta España, pasando por Estados Unidos, México, Colombia, pero también Mauritania, intervino con movimientos progresistas y humanistas durante campañas presidenciales o legislativas.

En 2007, publicó Ma France laïque por Edicion La Martinière.

Sophia Chikirou est directrice de la publication du Monde en commun. Editorialiste, réalisatrice d’un documentaire sur le lawfare, elle a aussi fondé plusieurs médias comme Le Média TV et la web radio Les Jours Heureux.

Conseillère en communication et militante politique, elle a exercé et milité dans plusieurs pays. De l’Equateur à l’Espagne, en passant par les Etats-Unis, le Mexique, la Colombie, mais aussi la Mauritanie, elle est intervenue auprès de mouvements progressistes et humanistes lors de campagnes présidentielles ou législatives.

En 2007, elle publiait Ma France laïque aux éditions La Martinière.

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