Le MAS, Mouvement vers le socialisme, fondé par Evo Morales, a remporté la présidentielle du 18 octobre, les poursuites contre l’ancien président ont été abandonnées. Rentré en Bolivie, il est officiellement en retrait de la politique, même s’il ne se prive pas d’intervenir régulièrement dans le débat.
Et c’est Jeanine Añez qui se retrouve cette fois devant la justice, qui plus est pour les mêmes chefs d’inculpation que son prédécesseur : «terrorisme» et «sédition». Elle est entrée en prison samedi, pour une détention préventive de quatre mois. Trois ex-ministres de son gouvernement et trois haut gradés de l’armée sont eux aussi poursuivis.
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#Bolivia Ordre d'arrestation de l'ancienne présidente intérimaire bolivienne #JeanineAnez
— Christian Rodriguez (@christianpdg) March 12, 2021
Elle et les membres de son cabinet sont accusés de participation au terrorisme, de sédition et de conspiration. pic.twitter.com/W2Xm8YmwQK
#Bolivie Le Ministère de la Justice informe le peuple bolivien que Mme Jeanine Añez a été appréhendée et est maintenant entre les mains de la police. #Justice #Bolivia#FueGolpe#JusticiaEnBolivia pic.twitter.com/vbr8iDJuOw
— Christian Rodriguez (@christianpdg) March 13, 2021