La condamnation des militants qui expriment leurs opinions se poursuit en Algérie. Cette fois-ci, c’est le tribunal de Mostaganem qui a condamné l’enseignante, Dalila Touat, ce lundi 18 janvier, à 18 mois de prison ferme. L’activiste est poursuivie pour plusieurs chefs d’accusation, notamment pour des publications « portant atteinte à l’ordre public ».
L’avocat de la militante Dalila Touat a révélé, au quotidien francophone Liberté, que sa cliente a été condamnée aujourd’hui par le tribunal de Mostaganem à 18 mois de prison ferme. L’enseignante de physique, âgée de 45 ans, a été jugée pour plusieurs chefs d’accusation, dont « outrage à des fonctionnaires et institutions de l’Etat », « diffamation » et « publications portant atteinte à l’ordre public ».
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