On n’en comptait plus que 450 en 1950, l’espèce allait s’éteindre. Et les humains, qui étaient les premiers responsables de cette extinction, décidèrent dans les années 80 d’en interdire la chasse.
40 ans après cette décision salutaire, la population des baleines à bosse a retrouvé 93% de son niveau de 1830 (à l’époque, on avait recensé 27.000 individus).
Le site Positivr.fr nous raconte ce qui n’est pas un miracle mais une démonstration : quand les humains le veulent, ils peuvent cesser de saccager l’environnement et la biodiversité. Question de volonté politique !
Extraits :
« En moyenne, une seule baleine stocke environ 33 tonnes de CO2. Si nous considérons uniquement les baleines à bosse de l’Antarctique qui se reproduisent au Brésil, leur protection a entraîné le stockage de 813 780 tonnes de CO2 dans les eaux profondes. Cela représente environ le double des émissions annuelles de CO2 d’un petit pays comme les Bermudes ou le Belize, selon les données d’émissions de 2018. »