- Tribune
Au Niger, comme auparavant au Mali et au Burkina Faso, les auteurs du coup d’État militaire font de la colère antifrançaise leur principal argument de légitimité. Les coups de menton du président Macron, et l’ornière d’une « stratégie » engagée il y a dix ans sans aucun projet partagé avec les peuples concernés ont été les principaux atouts des adversaires déclarés de notre pays.