La citation pour le Bridge Prize, nom sous lequel il est connu en anglais, dit que Tzipi Livni est honorée pour avoir promu « la liberté de penser, la démocratie, la franchise et l’humanité » et pour « sa politique de paix orientée vers la liberté ». Le prix est remis à des individus qui ont dédié leur vie à la démocratie et à l’entente pacifique entre les peuples et est assorti d’une prime en espèces de 2.800 $.
Mais, loin de promouvoir la paix, Livni est accusée d’implication dans « des crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis dans la Bande de Gaza sous blocus » quand elle était ministre des Affaires étrangères d’Israël pendant son attaque de 2008-2009 sur Gaza, a écrit mardi l’association des droits de l’homme Euro-Med Monitor dans une lettre au président du Brückepreis Willi Xylander.
Livni « a travaillé sans rémission, pendant cette opération condamnée internationalement, à blanchir l’attaque d’Israël sur la population civile de Gaza », ajoute la lettre, faisant remarquer que l’attaque israélienne avait coûté la vie à 1.400 Palestiniens, dont la très grande majorité étaient des civils.
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